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19 décembre 2017

Contribution supplémentaire à la réflexion sur l'Egalité homme-femme

Chers amis,

Ceux qui suivent ce blog depuis sa création en 2008, soit près de 10 ans déjà, ont déjà lu certains de mes articles ici ou consulté ici certaines de mes videos, qui abordent la question de l'égalité homme-femme, au milieu d'autres questions de notre temps.

En liens : Ici de 23:05 à 33:15 de mon intervention video par exemple, ici encore à partir de l'alinéa 16 de mon article "pour la France, pour l'Europe, et pour l'Humanité" et en particulier les alinéas 26, 27, 28, 29ici également mon article au sujet du burkini, ici mon article sur l'emploi et les expérimentations sur les Hommes, et enfin par exemple mes récentes plaintes dont des extraits sont publiés ici (il y en a d'autres).

Ces contributions spontanées de ma part au sujet et au champ plus vaste dans lequel il s'inscrit de mon point de vue, comme même l'initiative qui fut la mienne dès 2013 dans le cadre de mon engagement partisan de tenter d'organiser (non sans mal) une réunion qui abordait aussi cette question, n'ont cependant pas épuisé ma réflexion, tant des faits révélateurs se sont poursuivis dans mon quotidien ; et, avec le recul naturel qui me caractérise, j'ai aussi pu constater ce travers très humain qui consiste souvent, pour ne pas dire toujours, à basculer dans une approche très clivante, je dirais même séparatiste et communautaire : ici, toutes féministes contre tous les hommes, et le hashtag #balancetonporc dont la subtilité criante nous a tous submergés... en est l'illustration.

Je partage cependant l'envie d'hurler que ce hashtag a maladroitement révélé chez bien des femmes.

Je suis reconnaissante aux féministes d'Antan. Et je défends aujourd'hui la cause des femmes, mais comprenons-nous parfaitement, je la défends parce que les femmes sont des individus, des citoyens à part entière. Et pour ce faire au mieux, j'essaie de m'extraire de toute "passion triste" (expression de Spinoza) même si je le sais parfaitement ce n'est pas simple, puisque j'ai moi-même croisé dans ma vie de femme, des individus aussi peu recommandables voire aussi condamnables, que certains de ceux dénoncés sous le hashtag précité ; j'essaie cependant de m'extraire de toute passion triste parce que je sais que l'inverse peut conduire à un combat stérile contre les hommes en général, violent et parfois injuste voire contre-productif (exposant les femmes victimes, ce qu'a maladroitement permis le hashtag précité), plutôt que satisfaire l'objectif du combat nécessaire pour les femmes qui vivent cela, c'est à dire les protéger avant tout et veiller à corriger par le droit si nécessaire, l'éducation de ceux qui en manquent cruellement tout en faisant de grandes leçons d'éducation à tout le monde, bien souvent ;

et entre un combat contre les hommes, ou un combat pour les femmes dont les droits sont bafoués, il me semble que la nuance est importante.

Notre société est violente y compris dans les mots et les réactions, parce que les problèmes, réels au demeurant, n'ont pas reçu réponse sage et posée, mesurée, juste, équitable, et donc efficace ; c'est vrai pour ce sujet, comme pour bien d'autres.

Si cet article traitait du rapport amoureux exclusivement, j'aurais pu citer la célèbre tirade de Perdican sous la plume de Musset (On ne badine pas avec l'amour, 1834), qui tentait déjà, me semble-t-il, de présenter la nature humaine, et ses travers répartis entre les deux sexes, même si la répartition précise un peu trop généralisée qu'elle pose pour la démonstration dans le dénouement de l'intrigue, me paraît devoir être débattue !

Mais le champ de la réflexion dépasse bien entendu ce cadre.

La nature humaine est ce qu'elle est, et chacun de nous est bien peu de chose d'ailleurs, soit naturellement soumis à cette nature, même si la raison nous distingue d'autres espèces ou devrait nous en distinguer : qui de nous peut prétendre qu'il ou elle, n'a pas lui-même ou elle-même un jour eu une réaction disproportionnée; trop vive, ou pas assez et pour des motifs pas toujours avoués si facilement ?

Il revient aux responsables publics et aux institutions, d'apporter avec pédagogie les réponses sages, posées, mesurées, justes, équitables, en réactions ni trop vives ni trop indifférentes aux faits, et par-là même efficaces, en s'extrayant autant que faire se peut de clivages parfois largement surfaits, et toujours dangereux, qui opposent violemment, sans régler les problèmes qui eux sont bien réels. A défaut, c'est une escalade de violence qui se développe au sein de la Cité.

Dans le cadre de ma réflexion en ce sens un peu étoffée ici, j'ai apporté la semaine dernière une brève contribution supplémentaire écrite (voir infra), aux travaux de réflexion menés partout sur le territoire, en matière d'égalité homme-femme, ici à l'initiative de la Préfecture du Val d'Oise, et je profite donc de cette publication pour remercier M. le Prefet et Mme la Prefette à l'égalité des chances pour leur invitation.

Je n'ai hélas pas pu l'honorer par ma présence physique, car subissant depuis plusieurs années, outre l'atteinte à la confidentialité de mes correspondances et communications, des intrusions à mon domicile régulières depuis 2014, aggravées par un défaut de sécurité opportun du clos de mon immeuble persistant depuis 2015 et donc des négligences avérées, je suis toujours très inquiète quand je dois me rendre aux nombreux évènements auxquels je suis conviée. Je rappelle aussi que la ville où je vis est dotée de la vidéosurveillance, ce qui signifie, dès lors que ces faits se répètent depuis plusieurs années, qu'ils sont potentiellement couverts par des personnes en charge de les poursuivre, qui ferment les yeux depuis des années.

Heureusement je peux maintenir dans une certaine mesure certains de mes projets depuis mon domicile (dont deux projets à dimension digitale en cours), mais cette situation leur est tout de même très préjudiciable, et j'en ai alerté les services en charge, y compris de la Prefecture, outre les services de la Justice, dont j'attends en conséquence qu'ils rendent justice, comme dit précédemment : soit de façon juste et équitable, et en application du droit pour chaque partie dont la négligence avérée de certaines devrait être sanctionnée depuis longtemps, et non bénéficier d'un parti pris qui ne peut qu'être intéressé ou idéologique, comportement partial dont les motivations mériteraient d'être éclaircies, tant les atteintes à mes droits fondamentaux sont manifestes, largement signalées aux services en charge et à la Justice, et bien avant qu'il puisse m'être éventuellement reproché quoi que ce soit au titre de ma réaction (bien naturelle) à l'inertie illicite qui m'a été infligée, réaction évidemment postérieure à l'inertie, et non l'inverse. J'aurais l'occasion de revenir publiquement peut-être plus en détails sur les faits, prouvés, signalés, et l'inertie illicite en réponse comme les privations multiples de mes droits fondamentaux dont s'agit. Et légitimement, j'ai donc l'intention de porter un recours devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme.

En conséquence ma contribution ci-dessous aux travaux sur l'égalité homme-femme transmise à la Préfecture, s'inscrit naturellement dans ma réflexion plus globale, sur des faits réels, vécus.
" Vous comprendrez qu'étant la principale victime de tous ces faits assez graves, je suis affectée par tout cela, et que cela me ralentit non seulement s'agissant de la finalisation des actions judiciaires, mais cela constitue même un empêchement certain, en terme d'opportunités professionnelles, car cela me ralentit pour tous les projets professionnels que je développe actuellement et en continue depuis plusieurs années - largement entravés du fait de ces infractions que je subis-, et cela m'empêche d'assister à de nombreux évènements professionnels auxquels je suis invitée, et que je dois décliner par peur que des individus pénètrent mon appartement.
Ces délinquants, ceux qui agissent ainsi et ceux qui les laissent faire - gagnent ainsi en fait, face à l'Etat de droit, non seulement en perpétrant des infractions répétées avérées évidentes (violations de domicile depuis 2014) sans jamais être sanctionnés, mais aussi en me privant d'aller et venir librement soit en me faisant perdre des opportunités professionnelles, c'est triste.
Afin d'apporter malgré mon absence, ma contribution à vos travaux en analysant ces graves faits dont je suis victime depuis plusieurs années, je puis vous dire ce qui suit (je vous remercie de veiller cependant au respect de mon droit moral d'auteur, soit mon droit de citation à cet égard [...]).
Je ne doute pas que ces faits s'inscrivent dans une certaine mesure dans la problématique réelle de l'égalité homme-femme au sens strict (j'avais d'ailleurs publié quelques anecdotes illustratives et révélatrices), dont je salue qu'elle ait été érigée au rang de grande cause nationale pour la durée du quinquennat par le Président de la République, mais je crains hélas que le mal soit plus profond, car certaines femmes m'ont infligé un mauvais traitement dans tous les faits précités (et d’autres, non visés ici), et d'autres ont me semble-t-il cautionné les faits que je subis ne serait-ce que parce qu'elles n'ont pas trouvé cela anormal, ni ne m'ont apporté un quelconque soutien lorsqu'elles étaient informées et en mesure de le faire ; et si elles ont agi ainsi c'est qu'elles avaient parfois un intérêt personnel direct ou indirect à fermer les yeux.
Le respect des droits fondamentaux des individus dépasse largement la question des sexes, et le mal au sein de notre société est donc plus profond. C'est le respect de l'altérité dans son ensemble qui est entaché : l'autre est nié.
Certains véhiculent cette négation du fait du non respect des femmes en tant que telles et c'est donc très important de rappeler l'égalité homme-femme surtout dans un contexte d'atteinte culturelle à ce principe, mais beaucoup et parfois des femmes elles-mêmes cautionnent cette négation de l'altérité par intérêt personnel, dont la source est variable (pouvoir, argent ou vice, concurrence déloyale en privant l'autre de son droit d'exister même...).
Et il peut aussi exister des cas de domination par les femmes, d'autres femmes, voire d'hommes.
Il me paraît donc très important d'inscrire aussi la grande cause de l'égalité homme-femme, dans la question plus large de l'altérité et de celle du pouvoir, en terme de droits fondamentaux, soit le droit pour l'autre, autrui, d'exister."
Je dois confesser l'inspiration de mes mots de conclusion, dont certains sont empruntés à la dernière conférence France-Israël entre le Président de la République française et M. le Président NETANYAHU, lors de laquelle des évidences bienvenues, et que je partage pleinement, ont été rappelées s'agissant du rapport à l'autre, autrui.

Il y a quelques jours j'ai aussi voulu publier sur les réseaux sociaux certaines chansons d'artistes populaires qui ont chanté les femmes ou la femme, par louange, conviction, amour ou admiration. Ce sont autant d'apports précieux, à mes yeux, aux fondamentaux liés au droit d'exister.

La question n'est cette fois encore, pas épuisée. Je ne doute pas que de nombreux rendez-vous dans les mois à venir, permettront d'approfondir encore le sujet de cette grande cause nationale, et je ne doute pas que nos philosophes passés et présents, y apporteront aussi un éclairage bienvenu.

Avec toute mon amitié,
A bientôt,
Séverine Serres