Voici mes nouvelles propositions, dans le prolongement de mes propositions précédentes concernant ces thèmes, et qui abordent notamment, outre des solutions pour répondre concrètement au problème de complexité par la voie de la croissance (et non du déclassement et de l'économie administrée), la réorganisation via la fédération de tous les praticiens du droit au service de la Cité, et la réorganisation de l'aide juridictionnelle pour un meilleur usage de l'argent public ; voir mon article du printemps dernier sur les amendements que j'ai proposés à la Loi Macron I, en particulier à partir de l'art. 17 et svts.
Certains en avaient rêvé sans tenir compte au départ des réalités, dont leur méconnaissance était cruelle car elle risquait bien de fermer toute opportunité à des gens diplômés et compétents, dont les opportunités étaient déjà réduites à peau de chagrin sans aucune raison valable ; j'ai pour ma part, préféré la construire à partir des réalités : la grande profession des praticiens du droit, est construite, et a été livrée clé en main, gratuitement, grâce à mon sens très développé du collectif au service de l'intérêt général.
Autrement dit, j'ai fait Ce Qu'il Fallait/Faut Faire : CQFF ; nouveau sigle dont on a compris enfin, qu'il a plus de sens que son prédécesseur CQFD, dont chacun, moi compris, a pu mesurer la limite, parfois dans la douleur ; les mots et les apparences, dont certains usent et abusent, étant hélas des chimères aigre-douces, lorsque ce sont, derrière les mots, des vies de citoyens, brisées.
Heureusement il reste des personnes qui ont envie de faire, vraiment, et donnent vraiment le meilleur d'elles-mêmes, au prix parfois d'une abnégation largement inégalée au service du collectif. Et les abus, et les faux semblants qui les permettent, ont toujours une fin, heureusement ; ils ne résistent point à la réalité.
Voici donc en vidéo ci-dessous, le fruit d'une mûre réflexion basée sur des constats alarmants, soit ce qu'il faut aussi faire, pour sauver la Justice et l'Etat de droit dans notre beau pays la France, et que je m'engage à faire pour la France et le peuple de France : transparence, pistes d'adaptation de la formation et du recrutement des magistrats et évolution de la composition des tribunaux, instauration d'une incitation et d'une véritable responsabilité des magistrats, greffiers, et huissiers de Justice, notamment sur la base du respect des principes fondateurs de la Justice. Des métiers ô combien importants, leurs missions sont précieuses, puisqu'en dépend la bonne administration de la Justice, comme la bonne Justice, sans lesquelles les conséquences peuvent être gravissimes sur la vie des citoyens et par suite détruire l'Etat de droit.